"Rose est née d’un élan fulgurant. Je revenais alors d’un long séjour en Afrique du Sud, une terre où la nature et l’humain vibrent au même rythme. Contrairement à d'autres pièces plus longues à mûrir, je savais exactement ce que je voulais exprimer dès les premiers gestes.

L’argile m’a obéi avec une étonnante fluidité, comme si la sculpture existait déjà en moi, prête à surgir. Je voulais traduire ce passage qui me fascine : celui entre le vivant et l'inanimé, entre ce qui apparemment a cessé d'exister et ce qui revient."

"À travers cette femme assise sur du bois mort, je raconte comment la vie réapparaît là où on ne l'attend plus. C’est une œuvre instinctive, presque urgente, mais profondément méditée — une forme d’équilibre entre pulsion et conscience.

Dans cette sculpture, le bois symbolise cette mémoire du vivant : ce qui fut autrefois animé, emporté, puis redonné à voir autrement. Il devient socle de renaissance. La jeune femme, elle, en émerge comme une forme nouvelle — plus apaisée, presque intemporelle — une vie réinventée, embellie pas la sagesse du passage."

À travers cette femme assise sur du bois mort, je raconte comment la vie réapparaît là où on ne l’attend plus. C’est une œuvre instinctive, presque urgente, mais profondément méditée — entre pulsion et conscience.

"Rose est un lien entre ce que la nature abandonne et ce que l'humain réveille. Elle ne raconte pas seulement une histoire — elle ouvre un espace intérieur.

À chacun d’y entrer, d’y déposer son propre regard, sa propre compréhension."

Cette sculpture Originale est éditée à 8 exemplaires + 4 épreuves d'artistes.